Aïn El Hilweh Projets personnels |
C’est le camp palestinien le plus important du Liban, un des plus ancien aussi, situé à 40 km au sud de Beyrouth, dans la ville de Saïda. Entre 60 et 80 000 réfugiés prennent place dans 3 km² tandis que Saïda compte cent mille habitants. Depuis 1948 et les différentes phases des guerres israélo-arabe, un flot de réfugiés plus ou moins continu alimente la présence palestinienne au Liban.
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Dans ces conditions, pas étonnant qu’Ein El Hilweh prenne l’allure d’une bombe à retardement, les gens y vivent entassés sans possibilité de travailler ou presque. Le gouvernement libanais a émis une liste de 73 métiers interdits aux Palestiniens. Chauffeur de taxi ou vendeur de café sont les rares emplois que les habitants du camp peuvent occuper pour subvenir à leurs besoins. L’UNRWA, la mission des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens créée en 1949, et les ONG assurent l’essentiel.
Difficile donc de ne pas entretenir un sentiment d’animosité vis à vis du voisin libanais et de haine contre les Israéliens accusés d’avoir volés leur terre. En attendant le retour, l’ennui et la rancœur font office de passe-temps dans cette impasse figée par l’histoire.
- Vue générale du camp palestinien d’Aïn El Hilweh, en arrière plan la ville de Saïda.
- Une rue du camp palestinien.
- Chez des habitants du camp.
- Chez une habitante du camp.
- Pendant l’Aïd El Kebir.
- Pendant la fête de l’Aïd El Kebir, la visite aux morts.
- Pendant la fête de l’Aïd El Kebir, le recueil aux martyrs.
- Pendant la fête de l’Aïd El Kebir, le sacrifice du mouton.
- Pendant la fête de l’Aïd El Kebir.
- Pendant la fête de l’Aïd El Kebir.
- Aïn El Hilweh
- Une famille du camp d’Aïn El Hilweh.
- Pendant la fête de l’Aïd El Kebir.
- Pendant la fëte de l’Aïd El Kebir.
- Dans la maison d’un combattant du Fatah.
- Dans la maison d’un combattant du Fatah.
- Dans le camp de régugiés, 40% de la population a moins de 17 ans.
- Dans le camp de réfugiés, le quartier de Sikke.
- Le marché au centre du camp de réfugiés.
- Dans une maison de réfugiés, au mur le numéro de bénéficiaire de la mission des Nations Unies au Liban.
- Un combattant du Fatah.
- Le mur de séparation avec la ville de Saïda.
- Un ancien montre sur la carte son village d’origine en Palestine.